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Meor
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Meor
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Meor
Messages : 10

Jour d'éveil : 11
Race : Racine
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Mar 7 Juin 2016 - 2:30


Prénom : Meor
Nom/surnom : Aucun.

Éveil : Onzième jours
Sexe : Masculin

Race : Racine
Métier : Sans métier, s'orientera plus tard vers bûcheron.
Groupe : Errants
Croyance : Peur et insécurité

Magie : Orienté vers la confusion et accessoirement l'oubli.

Capacités physiques : Meor a un fort talent pour tout ce qui demande un minimum de force musculaire. Bien qu’il ne soit pas muni d'une grande vitesse, ce handicap est remplacé par des muscles fins et secs plutôt bien développés qui ont le grand mérite de pouvoir soulever de grandes charges ou d’accomplir des tâches demandant de la force et détermination. On peut donc le considérer comme une personne destinée au monde du dur labeur.

Talents divers : Grâce à son instinct, Meor a quelques notions de survie qui lui permettront de vivre quelques jours de plus en cet enfer. Comme par exemple, il a la chance de savoir trouver les meilleures cachettes, que ce soit pour s'éclipser ou pour s'en servir comme abri.

Il a par ailleurs acquis un petit don pour pouvoir disposer les quelques bouts de bois qu'il a ramassé ou coupé. Grâce à ces matériaux, il peut construire un abri pouvant résister à de nombreuses intempéries, ou du moins c'est ce qu'il prétend.

Équipement :  Un slip fait à partir de feuilles et un bâton en forme de tire bouchon.

Apparence physique et charisme :

Le jeune homme est plutôt maigre, mais sans être un tapis. Il a quelques muscles saillants bien visibles sur ses avants bras ainsi que sur ses jambes. Bien qu’il ne sache pas sa taille exacte, Meor se considère dans la moyenne. Pour ce qui est de ses traits, ses cheveux en bataille sont d’un brun pâle représentant parfaitement la couleur des racines sur lesquelles il s’est réveillé pour la première fois en ces terres hostiles. D'un bleu saphir, ses yeux sont certainement l’élément le plus remarquable sur son corps de jeunot. Généralement, ceux-ci reflètent sa grande détresse, ou dans d’autres cas, ils sont tout simplement vides d'une quelconque émotion. Muni d'épais sourcils et d'un gros nez, il peut paraître rustre mais ne vous fiez pas aux apparences, il est plus que cela. D’ailleurs, une barbe - naissante - entoure sa mâchoire carrée le rendant ainsi un brin plus mature, bien qu’il ne le soit pas.
De ce que l'on peut voir de lui, Meor est ni beau ni laid mais bien entre les deux. En apparence, le garçon est donc une personne qui peut paraître amicale ou à la limite, il peut être digne de confiance.

Caractère et personnalité :

Avant toute chose, il faut savoir que Meor est du genre solitaire. Il n’aime pas être en compagnie d'autres personnes mais ça ne l’empêche pas d’être un minimum social ou voir même sympathique avec ceux-ci. De ce que l’on peut penser, le garçon peut ressembler à une personne taillée pour la bagarre, mais au contraire, il évite généralement le combat par la fuite ou soit la parole, mais il peut parfaitement en venir à la violence si une situation le demande. Malheureusement, Meor a la fâcheuse tendance à se replier sur lui-même dans une carapace d’émotions quand une situation lui échappe des mains en devenant trop difficile ou au contraire dramatique.
Pendant cet instant, il est presque impossible de le faire sortir de sa torpeur. On peut parfois le considérer comme un lâche pour sa tendance à fuir toute forme de danger, mais bien que cela peut paraître surprenant, quelques fois, une voix au fond de lui le pousse à accomplir des actions malgré lui que plusieurs auraient décrit comme "héroïque". En bref, un personnage étrange voyageant d'émotion en émotion, qui essaye désespérément de survivre dans un monde qui le dépasse en tout point.

Histoire :

Jour 11: Éveil, Solitude.

Je sentais quelque chose dans ma bouche, pâteux, goût amer, c’était horrible. Mes yeux me faisaient mal, je croyais qu’ils étaient clos. Je ne voyais que l’ébène. J’étais prisonnier dans une prison composée de ténèbres. Je n’osais pas lever mes paupières, de peur de ce que je trouverais derrière. Pourtant, je ne pouvais pas rester dans cette léthargie pour l’éternité. Ma curiosité devait être nourrie. Lentement je laissais mes yeux s’imprégner du monde qui s’offrait à moi. Un monde étroit, très étroit, composé d’une centaine de racines. Quelle drôle d’univers. Moi qui m’attendais à quelque chose de plus gai. D’ailleurs, je ne sentais aucun tissu sur mon corps, étais-je nu ? Certainement. Pour renforcer cette théorie, je sentais quelques courants d’airs me chatouiller la peau. Cette situation était des plus bizarres. Enfin. Rien d'étonnant. (Sarcastique)

Me rappelant les actions que je pouvais accomplir en tant qu’humain, j’essayais de formuler un son. Rien. Seulement un gazouillement. Normale, de la terre résidait dans ma bouche. Cette situation était embarrassante, très embarrassante. Mais je n’avais pas à m’inquiéter. Personne n’était présent pour rire de mon malheur. En un soupire silencieux, je recrachais celle-ci loin de moi, libérant ainsi ma bouche de son emprise. La journée risquait d’être longue. Pendant un court moment j’observais mon environnement. Je repérais finalement une sortie pour m’extirper de cet enfer. Un trou, un simple trou. Je rampais donc en direction de celui-ci, ne me gênant pas pour m’agripper à quelques racines pour m’aider dans mon parcoure sinueux.

À mon grand plaisir, je roulais à l’extérieur de la cache souterraine. Moi, Meor, j’étais désemparé par ce que qui m’arrivait. Pour me détendre, le temps de trouver un sens à cela, je m’étalais contre l’herbe verdoyante qui composait en bonne partie les lieux. Que faisais-je il y a quelques instant complètement déshabiller, presque enterré vivant à quelques pieds sous terre ? Encore une question qui n’avait pas de réponse. Dans tous les cas, j’avais peur, je craignais pour la suite des événements. Quoi de plus normal que de ressentir de l’insécurité ?

Je restais des heures comme cela, étaler contre le torse de la nature. Je devais l’avouer, cela me dépassait en tout point. Mais ce n’est pour autant que je m’abandonnais à mon triste sort. Une voix me soufflait à l’oreille de continuer mon existence et de découvrir les mystères de ce qui m’entourait. Pourquoi m’imposait-on de faire cela ? Explorer ne m’intéressait pas. La vie elle-même était indigne de mon intérêt. Pourtant, cette voix me forçait à faire des choses contre mon gré. Cette voix, je l’appelais à partir de ce jour «Mad». Peut-être se révélera-t-il comme étant un compagnon fidèle à l’avenir ? Mon sort m'appartenait et à personne d'autre. À moi de décider quoi en faire...

Jour 12: Survie et confection:

La nuit qui suivait mon premier jour sur cette terre fut un enfer. Sans pouvoir faire un seul mouvement, une onde de chaleur insoutenable commença à formuler ses jurons sur ma personne pendant ma rêvasserie. Mon désespoir grandissait et mon espoir se réduisait. Quel cercle vicieux. La vie pouvait être cruelle parfois. Parfois ? Non, toujours. Maussade, je marchais à quatre pattes vers un arbre, qui, je l’espérais saurait m’abriter des caprices de la nature. Comme je m’y attendais, un voile de mort m’enveloppait de sa chaleur mortelle au cours de ma nuit blanche.

Le lendemain matin, le soleil s’atténua, laissant place à un climat tempéré. Mes yeux étaient marqués de cernes. Je ressemblais certainement à un cadavre avec cette expression. Mon ami semblait avoir arrêté ses monologues. Il ne me parlait plus depuis que je m’étais assoupi contre un arbre, enfin, assoupi était un bien grand mot. Le terme exact serait coma. Peu rassuré, je me levais en m’appuyant sur un tronc d’arbre. Mon instinct me disait de me confectionner des vêtements. Des vêtements ? Une bonne idée ? Certainement.
Les yeux mis-clos, je parcourais les boiser, arrachant quelques feuilles au passage pour pouvoir me fabriquer ces fameux habits qui me seraient... utiles ?

Le corps tremblant, j'assemblais le feuillage qui avait été récolté de mes propres mains dans un unique paquet. Grâce à quelques lianes grimpantes arrachées à leur tronc, je pus coller plusieurs de ces feuilles ensemble pour former une espèce de culotte. Fastidieux était le mot parfait pour décrire mon travail. Je dus recommencer à plusieurs reprises mon sous-vêtement pour cause d'une mauvaise manipulation. Au milieu de la journée, je réussis finalement à finir ma confection. Bien que rudimentaire, celle-ci saurait me satisfaire pendant un temps. Ou peut-être pas. De toute façon, le confort ne m'intéressait pas, pour l'instant bien sûr. De sueur et fatigue était faite ma journée.

Digne d'un repos bien mérité, je m'assis sur une pierre au milieu de la forêt. Je sentais mon ventre se contorsionner. Il avait faim. Ma gorge me faisait aussi souffrir. Elle demandait de l'eau ou n'importe quoi qui pourrait étancher sa soif. Logiquement, les arbres d'une forêt ont besoin d'eau pour survivre. Il y avait donc peut-être une source qui pourrait subvenir à mes besoins ? Une possibilité comme une autre. Je songeais par ailleurs à chasser, mais je ne supporterais pas de voir une âme quitter ce monde par ma faute. J'étais lâche et je le savais très bien.

Résolu, je ramassais mes derniers efforts et me dirigeais vers une destination inconnue, accompagné d'un bâton en forme de tir bouchon que j'avais ramassé au cours de mes récoltes. Je devais avouer que mon sens de l'orientation était piètre, le hasard saurait donc me faciliter la tâche ou au contraire l'empirer. Mais qu'est-ce que ça changerait ? Je nageais déjà dans la merde. Ma vie était un fardeau et la mort un privilège. La folie me caressait la nuque et j'en étais bien conscient. C'est justement grâce à elle que ma survie était garantie ou du moins, envisageable. M'accrocher à la folie me sauverait...

Jour 12: Aube.

Mon voyage était dur. Très dur. Je titubais, je courais, je tombais et rebelote. Ce voyage se résumait à cela. Nous pouvons le dire, c'était profondément ennuyant. Je ressemblais certainement à un pauvre idiot à glisser comme cela au sol. L'inquiétude n'avait pas lieu d'être me dis-je, j'étais complètement seul. Sans ami, seulement en compagnie d'un bienfaiteur qui me transmettait ses douces paroles par penser. J'étais épuisé et dans une incompréhension totale. Qui étais-je ? Ma personne ne se résumait-elle qu'à un simple nom ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi tant de questions irrésolues ?

En fin de journée, j’aperçus une plaine à quelques centaines de mètres. Bonne ou mauvaise nouvelle ? Je ne savais pas. Mais apparemment, la chance semblait me sourire pour une fois. Quatre arbustes étaient visibles à l'entrée même des plaines, contenant de petites baies. Un cadeau venant de la nature elle-même pour souhaiter la bienvenue à quiconque aurait l'idée de pénétrer en ces lieux ? J'en doutais. La nature n'était pas du genre à montrer une quelconque bonté. Au lieu de cela, elle nous fait fondre au soleil ou nous refroidit sur place avec son légendaire climat.

Je franchis la distance et m'assis devant l'arbuste à la recherche de baies cela ne me rassasierait certainement pas, mais cela aurait au moins le mérite de ralentir ma mort. Je mangeais pendant quelques minutes, étonnement, les baies étaient très bonnes. Goût sucré et juteux. Tout ce que j'aime en bref. Je finis finalement mon maigre repas. Il ne restait plus rien. Je passais à l’arbuste suivant, ainsi de suite.
Avec mon regard habituel, maussade ou hagard, je décidais de dormir au côté du buisson. Dans quelques instants, il ferait certainement nuit, voyager dans l'obscurité de me plaisait pas tant que ça. La lâcheté saurait me préserver du danger

Jour 13: Folie

Je cillais, ma gorge était sèche. Mon corps plus maigre qu'à l'habitude et mon morale au plus bas. Je remarquais la saleté qui m'imprégnait le corps. Quelle idée de dormir au sol. Ce n'est pas comme si j'avais eu le choix dans tous les cas. Je me retournais sur le ventre, imbibant ainsi mon torse de poussière. Je pris ensuite appuis sur mes genoux pour observer la plaine qui s'étendait à des lieux d'ici. C'est ce que je devais parcourir. Mon voyage était sans doute impossible, mais qu'est-ce que j'avais à perdre ? Ma vie ? Elle n'avait aucune valeur à mes yeux. Tout ce qui me faisait accrocher à ce monde était de découvrir la raison de ma présence. Peut-être pourrais-je ensuite quitter mon corps sans l'once d'un regret ?
Nu et fragile, je continuais mon périple vers un quelconque endroit. Mad me parlait quelques fois. La plupart du temps pour me rassurer. Mais je n'écoutais pas. Je restais enfermé dans mes propres pensées. Je ne pouvais rien entendre de ce qui m'entourait. Mes songes étaient portés sur ma soif et rien d'autre.
En marchant, je remarquais que contrairement à la précédente journée, celle-ci était bien plus fraîche. Plus agréable en soi. Le temps était bien plus adapté, ce qui eut l’agréable effet de remonter le moral, ou du moins en partie.

En mi-journée, une toux incontrôlable commença à me submerger. Je dus m'arrêter à plusieurs reprises pour reprendre mon souffle sous peine de me voir suffoquer violemment. La déshydratation commençait à faire effet. Super, manquait plus qu'une bonne diarrhée et c'était partie pour une journée d'enfer ! Quoique, pas besoin d'en rajouter plus, je souffrais déjà. Ahaha.
Quelques peux après cet incident, ce fut au tour des crachats de sang de surgir. J'en régurgitais une bonne douzaine avant de m’effondrer face contre terre, non par fatigue mais d'exaspération.
Des larmes commençaient à couler le long de mes joues. J'avais honte de ne pas être assez fort pour survivre. Honte d'être faible. Honte de mourir comme cela ! Honte d'être née.
Pour ne pas voir plus en profondeur le monde qui me terrifiait tant, j’enfonçais ma tête dans le sol à la manière d'une autruche.

...

J'étais d'une stupidité incroyable.


En ce qui vous concerne :

Prénom / pseudo : Orshen
Age : Dans la fleur de l'âge  Razz
À quelle fréquence serez-vous présent(e) sur le forum ?

Les weekends !

Comment avez-vous découvert le forum (par internet, on s’en doute) ?

Top site !

Avez-vous des remarques à propos du forum ?

C'eeeeest beau et bien travaillé *-*

Telod
Administrateur
Telod
Messages : 213

Jour d'éveil : Jour 1
Race : Racine
Métier : Sculpteur (3)
Groupe : Terre Rouge
Fiche de présentation :
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Mer 8 Juin 2016 - 12:17

Bonjour Meor et bienvenue sur Musaraignes !

Ta fiche est amusante à lire, légère et agréable ! J'apprécie cela, tu n'as que très peu d'erreurs, surtout au niveau du contexte, on voit que tu as pris le temps de te renseigner. Cependant j'ai encore quelques petites choses à redire avant ta validation :

Tout d'abord j'ai trois petites remarques concernant le contexte :

1) Je trouve que ton avatar est malheureusement un peu trop proche du monde réel... En grande partie à cause de ce t-shirt avec un col en V qui est assez suspect... En toute franchise je ne sais pas comment tu pourrais arranger ça, vu que je ne suis vraiment pas spécialiste des images, mais je suppose que tu peux demander de l'aide aux autres membres ! Il y a des gens qui s'y connaissent en graphisme, peut-être peut-on parvenir à flouter tout ça ou à découper d'une autre manière, je ne sais pas.

2) Dans ton histoire à un moment donné tu fais référence à une dizaine d'arbustes à baies : "Une bonne dizaine d'arbustes étaient visibles à l'entrée même des plaines, contenant de petites baies."
Sachant que la nourriture est extrêmement rare dans la vallée, je pense que trouver dix plantes en contenant d'un seul coup est un peu trop chanceux ! Puisque tu as bien montré que ton personnage a eu beaucoup de mal à en trouver, cela est acceptable.. A condition que tu réduises le nombre d'arbres contenant des baies. 3 ou 4 arbustes me semble mieux.

3) Tu dis que ton personnage est bûcheron, dans ton métier. Tu as oublié de préciser le niveau d'expertise de ton personnage (je suppose que tu le vois comme un Novice [c'est à dire de "niveau 1"] ce serait bien de le préciser). Mais... Dis moi si je me trompe, je ne vois jamais d'endroit dans ton histoire où on pourrait justifier qu'il puisse déjà être considéré comme un bûcheron. Je ne le vois ni tenter de couper des arbres, ni des branches, ni même récolter du bois. A part son bâton en forme de tire-bouchon bien entendu ! Je trouve ça un peu limite pour lui donner le rang de novice.

Au delà de ces petits problèmes mineurs concernant le contexte, j'ai des dernières petites remarques à te faire, puis je te laisse tranquille :

4) Tu fais un certain nombre de fautes d'orthographe tout de même, je voudrais que tu te relises une dernière fois... Essayer de corriger certaines fautes d'inattention : comme par exemple des "à" que tu as tendance à mettre un peu trop souvent (même quand il faudrait simplement écrire un "a"), quelques fautes d'accords avec un mot féminin comme : "Cette situation était embarrassant" ou encore "celle-ci était bien plus frais", etc. Et puis d'autres fautes qu'on voit, il me semble, tout de suite lorsqu'on passe l’œil dessus : "Rien détonnent." par exemple.

5) Dans la même catégorie il reste des tournures de phrases un peu étranges qui, je pense, nécessitent une petite relecture (parce qu'elles n'ont pas l'air volontaires). A la fin de ton apparence physique par exemple : "sur les bords digne de confiance." On comprend ce que tu veux dire mais je pense que la formulation est un peu maladroite. De même au début du jour 12 : "une onde de chaleur insoutenable commença à formuler ses jurons sur ma personne pendant ma dite rêvasserie". C'est très imagé et c'est rigolo, je ne critique pas l'expression "formuler ses jurons", je critique plutôt l'utilisation du mot "dite", puisque tu n'évoques rien de tel juste avant, tu parles simplement de "nuit", pas de sommeil. Donc je trouve cela un peu maladroit.

Bref ! Essaye de bien te relire, et pas de le faire en sautant des lignes ni en lisant en diagonale ! Après cela je pense que ça sera bon, je te demande pas non plus de faire des efforts faramineux, juste de corriger les fautes les plus évidentes et d'améliorer les formulations (si toi aussi il y en a quelques unes que tu trouves améliorables, dans le respect de ton style d'écriture bien entendu).

Voilà !
Meor
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Meor
Messages : 10

Jour d'éveil : 11
Race : Racine
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Dim 12 Juin 2016 - 15:39

Salut !

Je crois avoir modifié l'essentiel.
S'il manque des choses, n'hésite pas à me le dire Mort de rire

Meor l'arbuste
Telod
Administrateur
Telod
Messages : 213

Jour d'éveil : Jour 1
Race : Racine
Métier : Sculpteur (3)
Groupe : Terre Rouge
Fiche de présentation :
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Lun 13 Juin 2016 - 22:56

Coucou Meor !

Alors, je vois que tu as bien corrigé les points qui concernaient le contexte. De même pour ton avatar ! Tout ceci est acceptable à présent !

Cependant les points 4) et 5) concernant l'orthographe et l'application n'ont pas été vraiment corrigés. Tu as corrigé quelques fautes, j'ai vu, mais selon mon décompte il en reste encore trop.

Je réitère donc mes propos et je te demande de bien vouloir corriger ce que je t'ai déjà demandé de corriger :

- Jour 11 : fin du premier paragraphe : "Rien détonnent."

- Fin de l'apparence physique : "sur les bords digne de confiance." > J'aimerais que tu modifies la tournure de cette phrase pour qu'elle soit bien compréhensible.

- Jour 12 : début du premier paragraphe : "pendant ma dite rêvasserie" > Enlever le mot "dite" sauf si justifié.

Aussi il reste un certain nombre de fautes avec des "à" qui sont employés à la place de "a".

En gros je demande surtout une vraie relecture de ta fiche, du début à la fin, doucement, en lisant les mots un par un. C'est l'effort que je fais, personnellement, lorsque je relis ta fiche, j'exige que tu en fasses de même ! En faisant cet exercice tu pourras facilement voir (je pense) un certain nombre de fautes, et arranger des tournures que tu trouves maladroites ! Encore une fois je ne te demande pas de tout corriger, je ne te demande pas grand chose, mais essaye tout de même de faire cet effort !

Une fois que ça sera fait dis le moi et je pense que je pourrais valider ta fiche !

A bientôt !
Meor
Membre
Meor
Messages : 10

Jour d'éveil : 11
Race : Racine
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Lun 27 Juin 2016 - 14:32

Je crois avoir terminé o/
Dis moi si il y a un autre problème !
Meor
Telod
Administrateur
Telod
Messages : 213

Jour d'éveil : Jour 1
Race : Racine
Métier : Sculpteur (3)
Groupe : Terre Rouge
Fiche de présentation :
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Mar 28 Juin 2016 - 12:17

Bon ! Après tout ce temps je pense que ta fiche est à présent comme il faut !

Seul problème... Plusieurs jours ont passé depuis le début de la correction de ta fiche, et ton histoire ne se finit que jour 13. Mais bon ! Je te fais confiance pour raconter ce qu'il arrivera à ton personnage en RP pour rattraper ton retard, je vais pas te demander d'écrire un autre jour dans ton histoire vu que je t'ai déjà demandé beaucoup de choses.

Par conséquent...

JE M'APPELLE TELOD, et je te... dit-il tout en sautant en l'air follement haut, enchaînant les sauts-périlleux extraordinaires, les vrilles, les toupies, s'élevant encore et encore vers les cieux. Et les rayons du soleil commençaient à l'envelopper, alors que les nuages l'entouraient. Il rouvrit les yeux pour hurler la conclusion de sa phrase, mais, jugeant le paysage qui se tenait sous ses yeux, il se ravisa : Euh... Monsieur ? Monsieur ? Mais où il est ? Eh oh ? Y'a quelqu'un ? Il est parti Meor ? Pourquoi il est parti ? Bon bah, dites lui que je le balabalbide, demanda-t-il aimablement à un oiseau qui volait à côté de lui, puis il ajouta : ou quelque chose comme ça.


Phrases de Meor :

- Laisse couler la soif, même si ça pourrait mener à ta mort.

- Calme toi. Tu ne les entendras plus.



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